Aujourd’hui Catherine Muller a une trentaine de parutions de presse dans des journaux français, américains, japonais, coréens. Les articles sont soit dans des magazines spécialisés sur l’art floral soit dans des magazines féminins.
Ci-dessous, les articles de ces derniers mois .
Parution Cote Magazine décembre 2007.
Une personne s’arrête, la suivante également. La rue Boileau n’est pourtant pas très passante mais la devanture de l’atelier Catherine Muller est ravissante : un logo inspiré, un peu de fer forgé et, derrière, des compositions florales uniques. Mais attention, il faut montrer patte blanche pour pénétrer l’univers de la créatrice. « Tout se demande sur mesure », chaque intervention est calibrée. Catherine Muller est designeuse florale. Comme une vocation elle s’est lancée très tôt dans l’univers de la fleur.
Très vite en 1999, elle est repérée par Christian Tortu, le maître fleuriste parisien par excellence. L’année suivante, le designer l’envoie développer une de ses franchises en Corée où la jolie demoiselle s’envole pour trois ans. Catherine Muller revient après avoir évolué, affiné son style, toujours au plus proche du naturel, « la nature fait les choses bien mieux que nous.».À son retour quittant son inspirateur, elle parts dans la plus importante école internationale d’art florale située à Anger pour enseigner aux fleuristes de la France entière .Mais Paris lui manque…. de retour dans la capital, elle est vite nommée directrice artistique de l’école des fleurs à l’hôtel Crillon puis décide de voler de ses propres ailes.
Sa société éponyme est créée. Au Japon, en Corée, à New York, ou encore au Qatar pour des mariages princiers au Qatar, l’artiste tourne autour de la planète pour distribuer son talent ». En France, l’art floral n’a pas encore acquis ses lettres de noblesse. » c’est peu dire, à l’étranger, ce sont LVMH, Tiffany, les plus beaux palaces, les plus grandes familles qui font appel à son savoir-faire. À Paris donc dans ce qu’elle designe comme son atelier, tout est prévu pour répondre à la demande.. Le thé servi est délicieux, on y retrouve toute sa connaissance de l’Asie.
Les demandes sont multiples, du bouquet à livrer, de l’évènement à assurer ou encore la pièce unique à concocter pour le plus grand plaisir de son destinataire, jusqu’à l’une de ses activités principales, transmettre son savoir par les cours. La jeune femme, avec son style, son élégance, sa prestance, évoque dans son univers les plus grandes créatrices de la mode, la pédagogie en plus. Et il n’est pas rare qu’elle s’inspire de cette mode pour réaliser ses créations.
Charles François pour Catherine Muller
http://www.catherine-muller.fr/
le site du designer floral et de son école d'art floral
